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Vienne : une mise en bouche

Vienne Autriche

Il y a plus d’un quart de siècle, François Feldman se demandait ce que devenaient les valses de Vienne. Après toutes, ces années, si les mots sont les mêmes, je n’en sais toujours fichtrement rien. Ce n’est pas faute d’y être retourné… Bon, suivez-moi.

J’ai eu la chance de visiter, revisiter et rerererererererevisiter Vienne. Ce qui, mine de rien, est cool, d’autant plus que la ville tend à ressembler par endroit, à un musée à ciel ouvert. Vienne est, en outre, infiniment plus propre que d’autres capitales européennes, comme, par exemple, au hasard, Paris. Pas de rats dans la boue, les égouts ou partout. Comme quoi, il est possible de gouverner une grande ville pleine d’activité, de trafic et de touristes sans la transformer en déchetterie. Sans vouloir viser qui que ce soit, hein. Bref, prenons de la hauteur. Ca tombe bien, on va terminer la soirée sur un rooftop fort sympathique mais avant cela, un p’tit tour s’impose pour profiter des rayons du mois de septembre. Retrouvez le parcours en cliquant sur ce lien.

On gare la berline de luxe à deux pas de l’Ankeruhr (ou carillon Anke), jouxtant la Judengasse (littéralement « allée des juifs ») qui nous rappelle qu’il n’y avait pas que des chrétiens dans le coin. A côté se trouve le magasin Merkur Höhermarkt, une sorte de Bon Marché où l’on peut se procurer une belle variété de fromages et, paraît-il, de la viande casher. Quand il y en a… Donc pas aujourd’hui. De nombreux produits plus ou moins exotiques occupent le dernier étage, autant en profiter. La Slovaquie n’étant pas réputée pour sa nourriture, ça sera l’occasion de remplir le frigo.

Retour à la berline de luxe pour y déposer les affaires et début de la promenade : direction ce qui reste du quartier juif (la population ayant soudainement baissé quelques années après que l’enfant du pays a écrit son best-seller). On poursuit la route vers le palais Harrach et son passage. Sortie à gauche vers le pittoresque Café Central. Le principal problème de ce café, c’est la nuée de touristes qui s’y dirigent. Préférez les heures creuses ou réservez, il vaut le coup d’œil. Bref, du coup, pas de photo cette fois. On suit les calèches pour se diriger vers la pittoresque Michaelerplatz et l’on traverse en direction du musée des papyrus puis de la bibliothèque.

Arrivé au Quartier des Musées, on admire l’agencement des lieux puis direction la voiture, non sans faire un détour. L’occasion de passer par la zone piétonne vers Stephanplatz. Après tous ces kilomètres (pas hyper nombreux non plus, faut pas exagérer), faisons une pause sur le toit de l’hôtel Lamée où l’on admire le coucher du soleil et la cathédrale St Stephan. La vue en vaut la peine alors pourquoi se priver d’un mojito vierge ? Pour le dîner, il suffit de descendre : le restaurant Le Burger se trouve au pieds de l’hôtel et sert… vous avez deviné ? Fritz Kola de rigueur pour accompagner un burger à l’avocat. C’est bon de manger les spécialités locales. Je dois avoir un côté américain… A une prochaine à Vienne, on a une expo à regarder.

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Published by eric92270

Citroéniste en Cadillac, fan des USA résolument attiré par ce qui se trouvait de l'autre côté du Rideau de Fer, je vous emmène en balade au pays du Kofola et dans les alentours.

One thought on “Vienne : une mise en bouche

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